Comment tout a commencé...
C'était en l'an 2000, j'étais dans un quartier de Paris où je n'avais jamais mis les pieds. Dans le salon d'une famille que je ne connaissais pas. Il n'y avait pas de bruit, et juste quelques rayons du soleil qui perçaient à travers les volets fermés. Dans cette pénombre, j'étais là, debout au milieu du salon, simplement nue devant lui, à presque regretter d'avoir enlevé mes vêtements moi-même et aussi rapidement. Il m'a regardé, en étant déjà tout excité, et a commencé à enlever lui aussi ses vêtements, un par un. Moins d'une minute plus tard, il était complètement nu et me regardais dans les yeux, en me souriant.
J'avais souvent fantasmé, sur cet instant, me demandant comment je perdrais ma virginité. On y était. A ce moment, où tout allait basculer. L'instant, où j'allais découvrir ce qui m'intriguait tant. Et pourtant, c'était loin de ressembler à tout ce que j'avais pu imaginer. D'une grande simplicité, sans artifice. Rien de romantique. Je ne percevais que l'excitation de mon "prince charmant", qui depuis le début de toute cette histoire, avait "hâte d'y être".
Ce n'était pas parfait, mais étonnement, j'étais calme. Sereine. Décidée. Sans aucune appréhension. Peut être aussi parce que loin des clichés romantiques, j'avais maintes fois imaginé m'abandonner de la sorte à un presqu'inconnu. Et surtout, je savais que cette virginité que j'étais prête à lui offrir, il saurait l'apprécier à sa juste valeur. Être le premier amant d'une jeune femme, c'était pour lui un fantasme, ça l'excitait terriblement et cette idée me plaisait, moi qui depuis longtemps fantasmais sur les asiatiques!
Nous étions donc là, nus l'un devant l'autre. Sans un mot, sans un bruit, dans la pénombre. Il s'est assis sur le canapé sans me quitter du regard. Je lui souriais. Je n'avais pas encore découvert son corps, ni pris le temps de le regarder. C'est alors que pendant quelques instants mes yeux s'aventurèrent sur sa nudité. Il était beau, mince, bien musclé, bien proportionné, la verge en érection.
Jusqu'à cet instant, le seul homme que j'avais vu nu, c'était mon père, lorsqu'enfant je le croisais dans la salle de bain, en train de se laver ou de prendre un bain. Mais bien que ma mère n'avait aucune gène à se promener toute nue dans la salle de bain ou même à se rendre dans le salon pour aller chercher une petite culotte ( et oui par manque de place dans la salle de bain, ma mère rangeait sa lingerie dans le tiroir de la commode du salon! ) mon père, me semblait lui de plus en plus pudique. Il n'hésitait pas à fermer le verrou dans la salle de bain. Peut être aussi parce ses filles devenaient femmes, et que si la nudité n'est pas tabou pour un enfant, elle devient sacrée et nécessite le respect lorsque l'on grandit.
Mon petit asiatique était donc là, sous mes yeux, sur ce canapé, le sexe dressé, excité à l'idée de devenir mon premier amant. Je sentais dans son regard, son envie et son impatience. Et dans cet échange de sourire, toujours sans un mot, je me surpris à prendre d'un coup les initiatives. Toujours en le suivant du regard, ma main s'est alors saisit de sa virilité, et sans aucune hésitation, je me suis approché de son sexe pour doucement mais assuremment le prendre en bouche...