Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Ame Libertine
26 décembre 2008

Recette magique?

La sexualité a toujours été pour moi un élément important de la vie à deux, sans pour autant en être l'élément primordial. Une tante m'avait d'ailleurs dit il y a quelques années: "Pour garder un homme il suffit de deux choses: des bons petits plats et des calins!" C'est peut être un peu réducteur, mais ce sont effectivement pour moi des plaisirs simples de la vie!

Pour la cuisine, je ne suis pas particulièrement un cordon bleue, mais en ce qui concerne les calins, je suis toujours partante! Seulement voilà, mon homme est plus pour la qualité que la quantité! Il a donc fallu s'accorder, mais j'avoue que ça n'a pas été si difficile! En effet, il a toujours été ouvert d'esprit, et n'a jamais été contre épicer un peu les choses!

Oh nous ne faisons rien d'extraordinaire, et je trouve que notre sexualité est finalement plutôt classique. Nous avons simplement varier les plaisirs et jouer avec nos désirs. Nos fantasmes sont devenus de nouveaux ingrédients pimantant notre vie à deux! Ainsi les années passent et le désir que nous avons l'un pour l'autre est toujours là, quant au plaisir il va crescendo, et le meilleur dans tout ça, c'est qu'il nous reste encore plein de choses à découvrir!

Publicité
Publicité
22 décembre 2008

Désillusion sans déception!

Comment construire une relation, lorsqu'à 18 ans, on est toujours une petite fille sage qui ne sort jamais. Comment le voir, alors que l'on cache à ses parents l'existence de ce jeune garçon qui un jour à oser déposer ses lèvres sur les miennes; et lorsque celui-ci habite à l'autre bout de la région et qu'en plus il travaille le samedi. Comment croire que cette relation va durer alors que nos conversations sont loin d'être passionnantes et qu'un grand projet m'éloignera de cette vie pendant de longs mois.

Le premier ne fut donc pas le bon! Mais finalement ça ne m'a pas trop traumatisé. Il était simplement  la bonne personne pour me mettre à l'aise, me faire perdre mes appréhensions et franchir le pas d'avoir enfin plus confiance en moi. Par contre, il ne fut pas vraiment gentleman, puisqu'il décida du jour au lendemain  de ne plus me donner signe de vie, sans aucune explication! Tant pis pour lui, il ignorait que je n'avais pas besoin d'attendre des mois pour oser aller plus loin...


13 décembre 2008

Texto

Vendredi 13h09:

" ça te dérange si je ne rentre pas ce soir? Je n'ai pas très envie d'être sage..."

C'est fou comme ces quelques mots peuvent avoir de l'effet! ;)

11 décembre 2008

Fille modèle?

Le dimanche suivant, profitant toujours de ma liberté en l'absence de mes parents, je décidai de voir mon nouveau petit ami. Possesseur d'une carte Imagine R, ça ne lui coûtait rien de venir dans ma ville, c'est donc l'option que nous avons choisi!

Nous en avons profité pour nous promener main dans la main, dans un parc. Je lui ai fait parcourir les rues de ma ville, en lui disant "là c'était mon école maternelle!" "Et là mon école primaire!"... Et ainsi pour la première fois je m'affichait en public main dans la main avec quelqu'un.

Puis nous sommes passés à quelques mètres de la maison, et je crois qu'il aurait bien aimé que je lui propose d'entrer, mais je trouvais que je ne le connaissais pas encore assez pour l'inviter. Il n'a toutefois rien oser demander, évoquant tout de même du bout des lèvres qu'il apprécierait trouver un endroit "tranquille".

Plus tard, sur un banc public, nous nous sommes bécotés comme dit Georges Brassens, et une fois de plus, le jeune homme se révéla entreprenant, passant sa main sous mon pull et caressant avec plus d'insistance que la première fois ma poitrine. J'avoue ne pas avoir été insensible à la chaleur de sa main sur mon sein. Puis je l'ai embrassé une dernière fois sur le quai de la gare avant qu'il ne rentre chez lui. Cette fois là je suis donc restée relativement sage. Et je ne le regrette pas.

Avant le retour de mes parents, il ne me restait qu'une décision à prendre: qu'allais-je faire du bouquet de roses, seul témoin, de ma rencontre clandestine? Je décidai de le laisser bien en évidence dans le salon, ne pouvant me résoudre à le mettre à la poubelle, et prête à faire comprendre à mes parents que j'avais rencontré quelqu'un! Et à ma grande surprise, je n'ai même pas eu à rougir, puisqu'aussitôt ma mère s'est exclamée: "Oh merci pour les fleurs!"

58065866_0ae9912cb2

6 décembre 2008

C'était un jour férié

Je venais tout juste d'avoir 18 ans. Mes parents ont profité du jeudi férié pour partir en week-end à la campagne. Seulement moi j'avais cours le vendredi, et à l'approche du bac, il était hors de question de rater une journée. Je suis donc restée 4 jours toute seule à la maison. Enfin presque...
Quand le chat n'est pas là, les souris dansent! Enfin je ne suis pas allée danser, mais j'ai profité de cette journée de liberté pour me rendre sur Paris et rencontrer ce charmant garçon avec qui je discutais depuis quelques temps sur Caramail.
Il s'appelait Bruno, enfin c'était son nom français, car en fait il était asiatique. Nous nous sommes donnés rendez-vous à Montparnasse, puis nous sommes allés au restaurant et avons fait un petit tour vers Chatelet les Halles. Tout se passait bien. J'étais charmée, et je pense que lui aussi.
J'avais prévu un petit cadeau pour lui, des friandises et une petite peluche si mes souvenirs sont bons. J'avais emballé le tout dans un petit paquet, et c'est avec timidité que je lui donna. Il sourit et après l'avoir ouvert, il me fit furtivement une bise qui se rapprochait dangereusement de mes lèvres. Je ne m'y attendais pas et du coup je n'ai pas eu le temps de réagir! Intérieurement, je bouillais, en me disant: "Vas-y recommence, cette fois-ci, je suis prête!"
Il a fallu encore patienter une petite heure, pendant laquelle, nous nous sommes rapprochés petit à petit pour qu'enfin ce baiser arrive. C'était, doux, agréable. J'étais heureuse de découvrir enfin cette tendresse que l'on partage à deux. Ces baisers, ces petites attentions, se prendre dans les bras, ces balades mains dans la main. Mais, le temps passe vite, il a fallu nous quitter.
Il eut la galanterie de me raccompagner jusqu'à mon train, et en profita au passage pour mettre la main sous mon pull et caresser l'un de mes seins. Je ne fis pas choquée par une telle entreprise, mais je ne l'ai pas encouragé à continuer pour autant, de toute façon nous devions nous quitter.
Je suis rentrée à la maison, l'esprit léger et heureux, la tête dans les nuages, et avec un joli bouquet de roses comme souvenir!

Publicité
Publicité
Ame Libertine
Publicité
Ame Libertine
Newsletter
Archives
Publicité